Dynamo perd son poète

Aujourd’hui Dynamo est triste, profondément triste. Pascal, bénévole investi depuis de nombreuses années dans l'association, nous a quitté⋅e⋅s vendredi.

Très présent dans l'atelier et dans nos cœurs, membre actif du conseil d'administration en sa qualité de Président, animateur émérite, il a imprimé sa marque par son engagement sans faille, sa bienveillance et son amour de la mécanique vélo, qu'il aimait partager sans limite. Il était sur le pont de toutes les initiatives, toujours partant et toujours prêt. Derrière la discrétion et l'humilité qui le caractérisaient se cachait une véritable force tranquille.
Il était un ami, un soutien, un camarade, un membre de la famille, et le vide qu'il laisse derrière lui est immense, à l'image de notre peine.
Amoureux des belles proses, il savait également manier la plume, accordant un soin minutieux au choix des mots, qu'il trouvait toujours juste et en toutes circonstances. Aujourd'hui, il nous laisse sans voix et orphelin⋅e⋅s d'une grandeur et d'un supplément d'âme.
Nous témoignons tout notre soutien à ses proches et à ses ami⋅e⋅s et, en accord avec eux, nous vous informerons de l’hommage qui lui sera rendu et que nous souhaitons à son image : convivial, simple, militant et fraternel.

Tu vas nous manquer Pascalou, tu nous manques déjà !

Commentaires

Un collègue depuis des années avec un grand professionnalisme. Toujours bienveillant et de bonne humeur, apprécié par toute l'équipe. Salut Pascal, nous penserons toujours à toi. Régis

Je connaissais un peu Pascal car je suis venu à quelques reprises faire du bénévolat à Dynamo quand je suis à Nancy. Il m'a toujours accueilli avec bienveillance et gentillesse. Il m'a aidé à me repérer dans l'atelier et à faire connaissance des autres membres. Dans l'autre structure ou je suis bénévole (PharmaCycles à Toulon) nous sommes en train de faire évoluer l'atelier et c'est un peu grâce à lui, c'est lui qui avec ses conseils éclairés et ses suggestion pertinentes a permis d'impulser le changement. Je suis très triste, je ne le reverrais pas à mon prochain passage. Reposes en paix Pascal !