« On a d'abord tenté de m'enlever. Puis, on a arraché mes fleurs. Je les ai vus vomir. Ils m'ont pissé dessus. » S'il avait pu parler, c'est probablement ce qu'aurait déclaré au tribunal de Nancy le vélo pot de fleur de l'atelier Dynamo, qui est attaché rue du Duc-Antoine.
Mais un cycle n'est pas doué de parole et se présente rarement devant la justice. Alors, il subit, nuit après nuit, son calvaire en silence. Et les bénévoles ne peuvent que constater les dégâts.